Tuesday, May 31, 2011

My Nicholas Kirkwood's picks

Nicholas Kirkwood is opening his first store in London, six years after launching his brand. Let's celebrate with a selection of the best of his SS11 collection.







More on the website

Weird things I love


Invisible Shoes by Andreia Chaves


Offering Ring by Stoned Collection


Horsey by Eungi Kim




Kermit Tesoro

Sunday, May 29, 2011

summer vibes from the 60 '

Robert Doisneau , ''PALM SPRINGS 1960",edition Flammarion 30 euros .


Globe Terrestre "anonyme"


Please magazine


Martini Dry "Shaken, not stirred"


Ali Mc Graw



Le Turban vu par Missoni


Grace Kelly

Belle et branchée, même à la piscine municipale

Quelques petits conseils pour avoir le look coco à la piscine municipale.

Goldy Mama propose une sélection de bonnet de bain vintage, turbans, frou frou, noir ou rose brillant. Le site Making a splash et son bonnet à fleur en fera craquer plus d'une (ou pas)!

Qui oserait poser le pied au sol sans chaussures? Pour le faire avec grâce et hygiène, on peut opter pour la ballerine en plastique, très chic mais un peu over the top ou la classique tong Havaïanas.



Pour le maillot de bain, on peut éviter le nageur Arena qui ne met pas grand monde en valeur et aller faire un tour chez H&M qui a sorti des jolies une pièce cette saison ou Princesse tam tam et ses deux pièces taille haute.






Pour les lunettes par contre... je n'ai pas encore trouvé d'alternative!

Friday, May 27, 2011

Zahia, pointue et underground?

De la prostituée scandaleuse des joueurs de l'équipe de France à la une du V Magazine. Zahia n'a pas fini de nous surprendre. Elle est l'héroïne d'un court-métrage ultra sexy, Bionic, réalisé par le photographe et réalisateur Greg Williams. On en attend encore de cette créature aux courbes venues d'ailleurs. Elle est vulgaire, dérangeante et en passe de devenir une vraie icône underground et branchée.


Zahia in BIONIC - Short Film by Greg Williams... par zahia-officiel

Le Septime, Paris 11e




Le Septime, de l'extérieur, ça ressemble un peu à une librairie. A l'intérieur c'est bois brut, vieux miroir et mur verrière. On entre dans un espace pas ostentatoire, un peu cantine, un peu table d'hôte et finalement assez bruyant. Le soir, avec les carafes à décanter et bonnes bouteilles que je vois déjà défiler le midi, ça doit brailler. En tous cas, il y a du bonjour et du sourire dans le service et on aime ça. Réservation oblige, c'est plein. J'oubliais presque, la cuisine est américaine comme ça, ils ont l'œil sur leur salle...



Le midi c'est franchement abordable. Deux menus à 21 et 26 euros, verre de vin ou bouteille d'eau compris. Alors on fonce, on lit la carte et on commande (un tout petit peu long à prendre la commande, la pause dej c'est short dans la mode).




Dans l'assiette, les asperges al dente sont un peu alourdies par la griviche mais on sauce quand même avec une bonne miche de pain de campagne jusqu'au bout. Le panoufle remplacé par des anchois me fait aimer ce que les mauvaises pizzas m'avaient toujours fait détester.

On passe au plat. Copieux le morceau de cabillaud accompagné de choux grillés et apprêtés, fenouils et sauce de poulette, roule ma poule. La cerise relève mademoiselle la canette d'une pointe d'acidité. Ça passe ou ça casse. Les endives rouges carmin font, elles, l'unanimité.

Pour un gros mangeur on reste un peu sur sa faim. On ne fera donc pas l'impasse sur le dessert. Une mignonne assiette de fromages... Rien à redire. Le riz au lait et son sorbet poire par contre est très bien ficelé.

Dans la salle aujourd'hui, professionnels de la restauration et autres goûteurs professionnels. Ça déguste le vin dans les règles de l'art. Ça se pavane un peu avec les us. D'ailleurs, une fois n'est pas coutumes, les serveurs sont sympathiques et passionnés.

A la caisse, on retrouve la carte du Saturne. "Ce sont des amis" me dit le serveur. Ça ne m'étonne pas!

Le Septime
80 rue de Charonne
75011 Paris

Tel : 01 43 67 38 29

Tuesday, May 24, 2011

Jérémy Martin, l'art de la fleuristerie




Comment te présentes-tu ? Jérémy, fleuriste ? Designer de fleurs ?

Je me présente avant tout comme un fleuriste. C’est mon métier premier. Je suis un fleuriste qui vit de sa passion et souhaite apporter sa touche personnelle. Le design floral n'est pour moi qu’une continuité de ma façon de voir la fleuristerie.

Peux-tu m’expliquer ton parcours et comment en es-tu arrivé à créer des accessoires en fleurs ?

J’ai toujours eu un parcours en lien avec le végétal. J’étais lycéen en lycée agricole à Carcassonne et j’ai obtenu une licence de biologie végétale lorsque j’étais étudiant à Toulouse. Cependant, ce parcours scientifique ne me convenait pas, il me manquait quelque chose. La créativité. Alors, j’ai tout quitté et je suis "monté à la capitale" pour apprendre le métier de fleuriste. J’ai suivi une formation de 3 ans en apprentissage à l’école des fleuristes de Paris pour avoir mon CAP et mon brevet professionnel. A présent, je suis salarié chez L’Artisan Fleuriste dans le 3ème arrondissement de Paris.

Comment créer des accessoires en fleurs est venu jusqu’à moi ? Avant tout, je pense que je suis quelqu’un de fasciné par mon métier et que ma formation m’a énormément enrichi en me permettant de travailler au delà du simple bouquet. Je suis également de nature ouverte sur tout ce qui touche au domaine de l’artistique. Tout cela fait que j’ai voulu me lancer dans quelque chose d’atypique et personnel, et je dois aussi cela à la capitale de la mode où je vis désormais : Paris.





Comment sont perçues tes créations par tes collègues, tes patrons ?

Je reçois beaucoup d’encouragements de la part de mes collègues et patrons. Il m’arrive même parfois d'être conseiller sur mes projets.

N’y a-t-il rien de frustrant à créer un objet qui ne dure qu’une journée ?

J’ai envie de dire «n’y a t’il rien de frustrant à acheter des fleurs qui vont fanées à un moment donné ?» L'éphémère fait aussi partie du charme des fleurs. Je perçois mes créations comme de simples fleurs coupées quelque part. J’aime l’idée de saisir juste l’instant où ma matière première va s’exprimer de son mieux, même si ce n’est pas pour durer.

Quels sont tes projets ? Souhaites-tu développer des collaborations avec la mode ?

En effet, mes projets se dirigent vers l’univers de la mode qui m'intéresse énormément. Après une collaboration pour des magazines (Lash magazine et Citizen K), je me prépare le mois prochain à travailler avec
une créatrice très talentueuse, Steffie Christiaens, sur sa présentation de mode masculine en juin.

Pour le reste de mes projets, je préfère rester vague car ils sont encore à l’étape de
projets à l’heure actuelle. Mais j’ai de quoi faire !





Quelles sont tes inspirations ? Artistes, designers, chapeliers…

Je m’inspire beaucoup de la presse mode ( Vogue, Numéro, Citizen K... ) et je suis un grand fan d’Alexander Mcqueen.

Pour ce qui touche au végétal, je me sens proche du mouvement «land art» dont Andy Goldsworthy est maitre dans le domaine.

Quelle est la fleur, la plante que tu préfères ?

Comme tout bon fleuriste, je ne peux pas aimer qu’une seule fleur. Il y a tellement de diversités de par les couleurs, les senteurs, les formes et les textures que je me refuse d’en choisir une particulièrement. Mais je me lance ... j’ai un coup de coeur pour l’hortensia.

Quelle fleur offrir à sa maman pour la fête des mères qui arrive bientôt?

La pivoine sans aucune hésitation. C’est l’une des fleurs parfaites en cette saison.

Pour son amoureux ?

Tout dépendra du caractère et de la personnalité de monsieur. Pourquoi pas un beau bouquet de pivoines blanches pour les raffinés , des roses parfumées pour les romantiques et du pois de senteur pour les rêveurs.

Y-a-t-il des tendances de fleurs, de plantes ? Lesquelles ?

Absolument. Justement en ce moment, c’est la grande tendance des graminées. Qu’elles soient coupées ou en pot. On assiste aussi à l’entrée d’autres végétaux jamais exploités auparavant. Je pense par exemple à la menthe, à la framboise, à la rhubarbe ou encore au chardon.

Une journée ensoleillée et fleurie à Paris avec toi, on irait où ?

Je commencerai par prendre un petit déjeuner en terrasse à La Perle dans le 3ème et j’en profiterai pour me rendre dans la boutique où je travaille , qui se trouve à côté pour découvrir et sentir de nouvelles fleurs. J’irai ensuite me balader le long du Canal St Martin pour pouvoir déjeuner place Sainte Marthe à La Sardine.
Pourquoi pas faire un tour du coté des fripes rue Tiquetonne. Et en fin de journée, un pique-nique aux Buttes-Chaumont sans oublier le passage obligatoire au Rosa Bonheur.



Monday, May 23, 2011

My new weekly obsession

Hotel 1898, Barcelona


The Hotel 1898 is where to stay in Barcelona. Well located on La Rambla, amazing interior design in a colonial spirit, a spa and the hightlight, the rooftop with its pool.




If you cannot afford these facilities as I did, the best is to enjoy the rooftop for a cocktail. I tried it daytime for schedule reason and it was a wonderful experience. No one there. I think I could even had had a swim without anyone noticing it...

Definately you should try the irresistible mushrooms croquetas, the Bellota and the pan con tomate and martinis. Just relax in the couch and enjoy the view.


Thursday, May 19, 2011

Egoïste, où es-tu? Montre-toi, misérable!



Egoïste, où es-tu?

Montre-toi, misérable!

Prends garde à mon courroux,

Je serai implacable!

Ô rage, ô désespoir,

Ô mon Amour trahi!

N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie?

Montre-toi, égoïste!

Valérie Lemercier par Peter Lindberg


Publicité Cartier


Egoïste (Le Magazine est de retour après 5 ans d'attente)


Thursday, May 12, 2011

André, nouveau directeur de la création de L'Officiel Hommes

Que penser de la nomination de l'artiste André à la tête de la création de l'Officiel Hommes?

Dans le communiqué, on comprend qu'il s'agit là d'un changement radical de direction malgré le succès qu'avait su imposé Milan Vukmirovic à sa tête depuis 3 ans.

On nous explique que le titre souhaite renforcer son identité à travers notamment du digital et de l'évènementiel. Autant dire qu'après les soirées Jalouse au Baron, on aura maintenant celles de l'Officiel Hommes!

Si je ne doute pas des qualités d'André en tant que créateur de lieux de fête, de restaurants pas forcément bons mais branchés, de graphiste même, voir de peintre (allez!), je suis loin de l'imaginer à la tête d'un magazine comme l'Officiel Hommes.

Quel peut être le renforcement identitaire insufflé par André? Un changement de maquette? Certainement. D'équipe aussi. De régie pub...

Sa sélection chez BlackBlock (en ce moment à l'Imprimerie) est intéressante, éclectique, mais c'est tout de même loin de ce que l'on attend d'un magazine référence internationale en matière de mode masculine .

Allons-nous voir naître une version plus poilue du Jalouse (où la Clique est déjà largement représentée)?

Je me permets de citer le communiqué : "En prenant aujourd’hui les destinées de L’Officiel Hommes, cet héritier assumé et très contemporain du « warholisme » investit donc, en toute légitimité, le champs de la mode qui le passionne autant qu’il l’influence."

J'ai hâte de voir le premier numéro qui sort septembre 2011!

Lara Melchior, delicate and light jewelry designer


I found the work of Lara Melchior in Please Magazine. The accessories editor Louise Chancenet is really talented and has amazing taste, even If she still never came to our showroom… I’m not a spiteful person!

Lara Melchior’s work is fine and delicate. The rings remind us the work of Gaia Repossi with fragility and an artisan touch that Repossi doesn’t have. The prices are still very high though, but if you feel like buying a 1800 euros ring, you can find her on Colette website, here.

More on her website!






Wednesday, May 11, 2011

Laurene Bouaziz, designer de Tigersushi Furs

Laurène, c’est l’amie d’une amie de mon ami. Je l’ai rencontré à un mariage dans le bus infernal qui nous faisait faire le tour de Paris en buvant! Champagne à la main, lunette ronde et robe bcbg, elle m’a tout de suite plu. Pleine d’énergie, elle est pop et chic, bavarde mais le mot est juste et innocent… Bref, quand elle me dit qu’elle est en charge du design de Tigersushi et qu’elle est une reine en cuisine, je l’adore et je la veux pour L’Appartement !

Peux-tu me décrire ton parcours, ta formation avant Tigersushi ?

J’ai étudié 2 ans au studio Berçot, entre mes 17 et mes 19 ans puis j’ai passé un an en stage et un an en Angleterre pour perfectionner mon vocabulaire

Tigersushi Furs, c’est ton idée. Quel a été la réaction de ton cousin Joakim et son frère Mattias, qui dirigent le label, quand tu leur as exposé le projet?

Ils ont été plutôt enthousiastes, je me suis d’ailleurs installée au bureau une semaine plus tard!

C’est donc une histoire de famille… Ça donne quoi au quotidien ?

Oui, et depuis 1an et demi ma sœur Audrey a rejoint l’équipe ! Mattias et Joakim sont très coquets dans leur genre. Ils ont des styles très différents tous les deux, mais je puise l’inspiration autant chez l’un que chez l’autre. Le point positif, c’est qu’on n’a aucun scrupule à se dire ce que l’on pense. Ça permet de travailler plus vite et même si tu te disputes, le lendemain c’est terminé !

Peux-tu décrire le style Tigersushi ? Quelle personnalité en serait le parfait ambassadeur ?

Preppy, androgyne, ludique. Après Philippe Katerine ce pourrait être James Dean.

Tu travailles chaque saison en collaboration avec un ou plusieurs artistes. Cette saison notamment, un collier avec Yaz Bukey. Comment s’est déroulée cette collaboration ?

Yaz était une de mes prof à Berçot !! Elle m'a toujours fasciné. Au fil du temps, et à force de la croiser dans le quartier de la boutique on est devenues amies. Quand elle m'a proposé cette collaboration, je ne pouvais qu’accepter!

Tigersushi c’est un laboratoire de création. Quelle est la prochaine expérience ?

Toujours plus de collaborations ! Et on va peut-être se mettre à l’artisanat ! Avec des pièces très très exclusives en toute petite série !

Qu’est-ce qu’on peut entendre en boucle dans votre boutique en ce moment ?

L’album de Nakion qui sort ce mois-ci !

Une soirée à Paris avec l’équipe de Tigersushi, on irait où ?

Ce qui est sûr c'est que nous serons au Pompon, pour fêter la sortie du nouveau single de Joakim le 26 mai, après un apéro dans notre boutique rue de Saintonge.

On y sera c’est certain !

Pour acheter la collection, c'est ici!